Apprenez à connaitre les gens derrière vos lunettes. L’employé du jour : une Zelda qui a su faire sa propre aventure
Nom : Claire Angeli
Surnom : Zelda
Années d’expérience : 18 ans
Territoire : Mile End – Pointe-aux-Trembles – Rosemont – Hochelaga-Maisonneuve
Montréal ne cesse de faire honneur à sa réputation de 21e arrondissement parisien. Le Bonhomme à lunettes y contribue allègrement alors que nous sommes à quelques joueurs seulement d’avoir un onze partant complet en provenance de l’Hexagone. Du coup, il était plus que temps pour nous de vous faire découvrir certains de nos collègues venus d’Europe. La première qui s’y colle, c’est clair que c’est Claire.
Devenir opticienne, c’est arrivé comment?
C’est arrivé par un concours de circonstances, un peu par hasard. Il y a 20 ans je cherchais ma voie. Après avoir raté ma première année de médecine, je cherchais un cursus qui puisse allier le paramédical, le médical et le contact avec les gens. Je ne connaissais absolument rien du milieu de l’optique! Je suis tombé dedans et ça a révélé ma passion.
Comment est-ce que tu t’es retrouvé au Bonhomme à lunettes?
Un autre heureux hasard! J’ai répondu à une annonce et suite à l’entrevue, Philippe m’a annoncé qu’il avait choisi quelqu’un d’autre. J’ai croisé les doigts pour qu’il me rappelle et quelques mois plus tard, ce fut le cas! Me voici donc, travaillant avec une super équipe de professionnels sérieux, mais sans se prendre au sérieux.
Raconte-nous l’histoire derrière ton surnom?
Le surnom Zelda est venu du fait que je suis fan de jeux vidéo. J’imagine que Assassin’s Creed, ça aurait été un peu trop intense. (On en profite d’ailleurs pour saluer nos voisins de chez Ubisoft sur la rue Saint-Viateur!)
Qu’aimes-tu le plus dans ton travail?
Ma réponse va être bateau (une expression que l’auteur de ces lignes à dû chercher sur Google). J’aime TOUT de mon travail, et plus encore de travailler avec des collègues passionnés. La différence maintenant, par rapport aux autres entreprises où j’ai travaillé, c’est de pouvoir proposer des produits vraiment abordables pour tout le monde!
Quelle est selon toi la plus grande différence dans ton métier en France par rapport au Québec?
La plus grande différence entre opticien en France et opticien au Québec, pour moi et à l’époque, c’était la reconnaissance du métier en débarquant. La plus grande différence c’était aussi sentir qu’on fait partie d’un corps de métier. Que mon diplôme me permet de faire des actes que d’autres personnes non-diplômées ne peuvent pas faire. En France ce n’était pas le cas à l’époque, du moins en 2012!